Chapitre 31 – Splafffffffffffffff et lumière.

Les 3 hommes sont assis autour de la table. Ils se regardent. Ils se scrutent. Personne ne dit mot.

Ami ou ennemi. Rescapé ou espion. Veinard ou perfide manipulateur.

-          « Bon, il est l’heure de faire un petit dodo ! Moi ! Mais comme il n’y a qu’un seul lit ! Tu vas être obligé de dormir par terre ! Heu ! Braquemard Etoilé »

-          « Pas de problème ! »

Braquemard Etoilé, se tourne vers un coin de la pièce à gauche de la porte plutôt vide en meuble comme en décoration. Il met la main dans sa poche. Il en ressort une espèce de bâton.

-          « Mais c’est une baguette magique ! »

-          « Oui, Monsieur Coudey ! »

(Vous avez vu ! Trop fort Coudey ! Normal il a tout lu Harry Potter !)

Mais avant que nos héros puissent réagir, il fait un mouvement de poignet tout en prononçant un truc inaudible.

Et là ! Splafffffffffffffff !

Un éclair de lumière. Les yeux qui se ferment par réflexe. Du mal à les ouvrir de nouveau tellement la lumière a été forte. Même une fois ouverts encore des points lumineux qui gène la vision.

-          « Heu ! C’est quoi ça ! »

-          « Ben ! Un lit Monsieur Coudey ! »

-          « Je vois bien Braquemard Etoilé, Mais ! Comment ... heu ! »

-          « C’est de la magie »

Putain le con, il vient de se faire livrer un plumart, tranquille !!!

-          « Monsieur Happy ? »

-          « Oui ! »

-          « Me permettez-vous de faire une cloison de séparation entre nos lits afin que vous ayez votre intimité ! »

(Oh ! L’enfoiré ! Vous verriez le sourire de faux cul ! En même temps, moi ça m’arrange qu’il propose ça ! Ben quoi, je ne vais pas vous faire un dessin ?).

-          « Non ! Ce n’est pas la peine ! Merci ! Nous avons besoin de dormir ! »

(Oh ! MERDE ! Le con ! Tintin ! Zoup ! Queue dale ! Sur ce coup là, je me suis bien fait baiser !)

-          « Heu ! T’es sur Happy ? »

(Qui ne tente rien n’a rien !)

-          « Oui ! Allons nous coucher ! »

(Bon c’est clair ! Cette fois c’est sur ! Y’a pas de détour ! Je l’ai dans le cul !)